La mère d'Adrien le fait embaucher chez les frères Max et Bernard Thüringer, grands exportateurs de céréales, à Braïla. Cet épisode de sa vie aborde l'« impitoyable système de travail » en vigueur, et la naissance de syndicats à Braïla.
L'esprit de vagabondage d'Adrien reprend le dessus, il quitte à nouveau sa mère pour rejoindre son ami Mikhaïl, à Bucarest. Il se retrouve dans un bureau de placement, entouré de socialistes, et Istrati nous expose un débat autour de l'utopisme des partis, du machinisme et de ses conséquences.
« Adrien Zograffi, âgé de vingt-deux ans, quitte son pays pour la première fois en décembre 1906. Il s'embarque à Constantza pour Alexandrie d'Égypte.
C'est une date qui compte dans son existence. Jusqu'à la veille de la Grande Guerre, notre jeune idéaliste sera l'amant de la Méditerranée. La Roumanie, Braïla, où sa mère peine dans l'angoisse, ne le reverront plus que le temps nécessaire aux hirondelles pour élever leurs petits.
Dans les pages qui suivent, Adrien raconte lui-même les scènes capitales de sa féerie méditerranéenne. »
« Adrien Zograffi, âgé de vingt-deux ans, quitte son pays pour la première fois en décembre 1906. Il s'embarque à Constantza pour Alexandrie d'Égypte.
C'est une date qui compte dans son existence. Jusqu'à la veille de la Grande Guerre, notre jeune idéaliste sera l'amant de la Méditerranée. La Roumanie, Braïla, où sa mère peine dans l'angoisse, ne le reverront plus que le temps nécessaire aux hirondelles pour élever leurs petits.
Dans les pages qui suivent, Adrien raconte lui-même les scènes capitales de sa féerie méditerranéenne. »